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lundi 24 mai 2010

Les mérites du Qurân-

Ash Shaykh Al Hâjj Mâlik Ibn 'Uthmân Sy écrivit dans son ouvrage Kifâyat Ur Râghibîn sur les mérites du Qur°ân ce qui suit :




L'on a rapporté que 'Alî Ibn Abî Tâlib (Qu'Allâh l'agrée) a dit [1] : " J'ai entendu l'Envoyé d'Allâh dire : " Il y aura certes une sédition. " - Que faire pour y échapper ? lui demandais-je, Quel sera alors, dis-je, le moyen de s'en préserver ? - Ce sera - répondit-Il - de rester attaché aux enseignements du Livre d'Allâh, qui renferme en outre l'annonce de ce qui vous a précédé, l'information sur ce qui viendra après vous et les lois de votre époque. Il est la parole décisive qui est loin de toute frivolité. Quiconque s'en détourne par rébellion (le mot rébellion est ce qu'il y a de plus péjoratif qui puisse s'appliquer à un homme. Il veut montrer par là que le fait de se détourner des enseignements du Qur°ân et ne pas les mettre en pratique, constitue assurément une rébellion et une sottise),qui cherche une direction ailleurs que dans le Qur°ân, qu'Allâh le perdra. ". " ; ou qu'Allâh le perde, selon que c'est un anathème (takfîr) ou une simple affirmation de la perdition qui s'ensuit.


D'ailleurs, chercher quelque chose où il n'existe pas est pur égarement. " S'attacher à la corde d'Allâh " veut dire s'engager fidèlement envers Lui pour échapper au châtiment. L'on dit aussi que cela signifie : " Lumière qui éclaire sa Voie ". Un hadîth rapporte : " Le Qur°ân, le Livre d'Allâh, est une corde lancée du ciel à la terre ", c'est à dire : une lumière jailli [du ciel à la terre].


L'on dit aussi : " Il est l'anse " pour celui qui désire s'y accrocher et rompre avec le bas monde en vue de se préparer pour l'autre vie," le solide ", c'est à dire la corde solide incassable, qui guide vers la miséricorde du Seigneur et " Il est le Rappel (Adh Dhikr) ", c'est à dire que le Qur°ân est le moyen par lequel l'on se rappelle Allâh, tout comme l'on s'exhorte. [Il est] " édifiant ", c'est à dire celui dont les signes sont sagement et solidement établis pour demeurer immuables jusqu'au jugement dernier. Il peut signifier aussi ce qui a été parfaitement bien composé.


" Il est le droit chemin qui ne laisse aux libertins aucune chance de déviation " ou, autrement dit, les libertins ne sauraient y trouver un prétete pour verser dans quelque hérésie ou égarement. " Et il ne se confond pas aux autres langues " où la parole d'Allâh risqueraient de se confondre avec d'autres, car il est impeccable. " Les docteurs ne se lassent pas de l'explorer ", c'est à dire qu'ils ne sauraient jamais le cerner définitivement.

Cependant, plus ils y réfléchissent, plus apparaissent de nouveaux sens qui leur étaient demeurés cachés. " Il ne vieillit jamais " (une chose est dite vieilles quand elle est usée), c'est à dire que sa beauté ne saurait se trenir, ni sa fraîcheur diminuer, ni dans sa forme, ni dans son sens, qu'elles puissent être sa lecture ainsi que son audition procurant le plaisir, " sous l'effet de la répétition " mulitipliées tant pour les langues, les oreilles qui écoutent que pour les esprits qui méditent, et ce, lecture après lecture. Chaque nouvelle lecture procure davantage de plaisir, quelques que différentes puissent être les langues qui le psalmodient. Et c'est l'un des signes de ses caractéristiques.


" Ses merveilles ne cessent de se manifester ". C'est à dire que nul ne parviendra à en cerner le véritable sens et les différents avantages." Il est ce dont les junun n'ont pu s'empêcher, lorsqu'ils l'ont entendu, de dire : " Certes nous avons entendu un Qur°ân merveilleux... " " ...Qui guide vers le droit chemin. " [2] c'est à dire qu'il guide vers la foi et le bien. " Ainsi nous y avons cru " et l'avons tenu authentique. " Qui y croit se trouve dans la vérité. Qui le met en pratique devient juste ", c'est à dire devient éclairé et guidé. " Qui dit la justice par lui fait preuve d'intégrité. Qui appelle à son enseignement guide vers le droit chemin. " Voir Al Masâbîh [3]. Un hadîth rapporte :

" L'on appellera, au jour du jugement, les lecteurs du Qur°ân dont chacun recevra sur la tête une couronne faite de 70 000 angles chacun portant un rubis rouge dont le scintillement se voit à bonne distance de tant de nuits et de jours. Puis, on demandera à chacun : " Es-tu satisfait ? "

Et il répondra : " Oui Seigneur ! "

Le Seigneur ajoute [alors] : " Habillez-le du manteau de l'honneur. "

Et on l'en revêtira. " Es-tu satisfait ? " lui demandera-t-on encore. " Oui ".

Les deux anges diront : " Ajoute pour lui Seigneur ! "

Allâh dira : " Je lui ai déjà accordé Mon agrément et la vie éternelle. "

Puis, on lui donnera une lumière égale à celle du soleil. Ansi, 70 000 anges lui tiendront compagnie pour le conduire au paradis. " Emmenez-le au Paradis " dira le Seigneur, " Et accordez-lui, pour chaque lettre [du Qur°ân] un bienfait et pour chaque bienfait un rang élevé d'une distance de cent ans de marche à pied. "


Un autre hadîth rapporte : " " Emmenez-le au paradis " dira le Seigneur, " Et accordez-lui, pour chaque lettre [du Qur°ân] un bienfait et pour chaque bienfait un rang élevé d'une distance de cent ans de marche à pieds. ". "


Un autre hadîth rapporte : " On appellera ses propres parents, à qui l'ont fera les mêmes honneurs. " D'où pouvait nours venir cet honneur ?! " Demanderont les parents. Le Seigneur répondra : " Pour avoir fait apprendre à votre fils le Qur°ân. ". " Cité de Al Masâbîh. Je précise que le commentaire n'est pas distinct du texte, mais j'ignore si cela est de l'auteur même d'Al Masâbîh.


Sayyidî Ash Sha'rânî a dit dans Al Bahr Ul Mawrûd fîl Mawâtîq wal 'Uhûd : La discipline que chaque Sûfî doit s'imposer, consiste à permettra à aucun de ses disciples de lire d'autres ouvrages que le Qur°ân et les receuils de ahadîth dûment rapportés de l'Envoyé d'Allâh . ce sont de telles mesures qui peuvent prévenir tout risque d'égarement. Et celui qui les applique se trouvera dans uen voie sûre. 'Iyâd a dit : " L'on a rapporté un hadîth du Prophète que celui-ci a dit : " Quiconque se conforme à l'enseignement contenu dans mes paroles, les comprend bien et les mémorise, viendra, au jour du jugement, en harmonie avec le Qur°ân. Quiconque négligera le Qur°ân et mes paroles, perdra ici-bas comme dans l'au-delà. ". " Ceci est tiré du Tafsîr de Sayyidî At Ta'âlibî intitulé Al Jawâhir Ul Hisân.


D'après Masâbîh Us Sunnah de Sayyidî Al Baghawî, dans le livre de la foi, l'on a rapporté également de Sayyidî Al 'Irbâd Ibn Sâriyah :

" L'envoyé d'Allâh - dit-Il - après avoir un jour dirigé notre prière, se retourna vers nous, nous montrant son noble visage, et s'est livré à une telle prédication que nous versions énormément de larmes et que nos coeurs en étaient si saisis d'émotion qu'un homme lui dit : " Ô Envoyé d'Allâh, on dirait que c'est un sermon d'adieu. Mais faites nous une recommandation. "

- " Je vous recommande de craindre Allâh, d'écouter votre commandeur et de lui obéir fût-il un esclave abyssin. Car si Allâh accorde longévité à quelques-uns d'entre vous, après ma disparition, ils assisteront à une grande divergence. Alors demeurez attachés à ma Sunnah et à celle de mes khulafa bien guidés. Cramponnez-vous et demeurez-y résolument attachés. Gardez-vous des nouveautés. Toute nouveauté est innovation et toute innovation est pur égarement. Et tout égarement confuit à l'enfer. " . " Rapporté par Ahmad, Abû Dâwûd, At Tirmidhî et Ibn Mâjah.


L'auteur du h Al Bayân [4], en commentant les propos d'Allâh (Qu'Il soit exalté et glorifié) que voici : " Nous vous avons révélé en vérité un Livre qui est pour vous un Rappel. Raisonnerez-vous enfin ? " [5] a dit : " D'après Ibn Mas'ûd (Qu'Allâh l'agrée) : " L'Envoyé d'Allâh nous avait un jour réunis dans la chambre de notre mère '°ishah (Qu'Allâh l'agrée) puis nous ayant regardés, pleura et dit : " Soyez les bienvenus. Qu'Allâh vous accorde longue vie et vous ait en Sa miséricorde. Je vous recommande de craindre Allâh, Le Sublime, et de Lui obéir. Le moment de la séparation est proche. Et il est temps de retourner à Allâh et à l'asile du lotus, au paradis de résidence. Les hommes de ma famille me laveront, me couvriront de mes linceuls que voici, ou, s'ils veulent, avec des couvertures du Yaman. Après m'avoir lavé et couvert, ils me mettront sur mon lit, dans ma propre chambre que voici, au bord de mon lit, au bord de mon tombeau. Ils pourront ensuite sortir un moment. Mon ami Jibril sera le premier à prier sur moi. Puis, ce sera le tour de Mîkâ°îl, Isrâfîl, et l'Ange de la mort, accompagnés de leurs subordonnés (junûd). Alors vous pourrez entrer, à votre tour, groupe par groupe, pour prier sur moi. " Ayant compris qu'Il allait nous quitter, nous nous mîmes à pousser des sanglots, à pleurer et à dire : " Ô Envoyé d'Allâh , Tu es la lumière de notre Seigneur, le flambeau de notre groupe et le chef de notre mission. Si tu nous quittes, à qui nous référer sur nos problèmes ? "

- " Je vous ai laissés - répondit-Il - sur une voie claire, la nuit y est comme le jour. Je vous ai laissé aussi deux prédicateurs. L'un est éloquent, l'autre est muet : Le Qur°ân et la mort. Quand quelque chose vous paraît ambigu, référez-vous au Qur°ân et à la Sunnah. Si vous vous trouvez le coeur endurci, ramolissez-le en pensant aux morts. ". "


D'après Abû Hurayrah (Qu'Allâh l'agrée), l'on a authentiquement rapporté : " Le Qur°ân appris dans la prime jeunesse se mêle avec la chaire et le sang. S'il est appris à l'âge adulte, qu'il refuse de se laisser assimiler, et qu'on y persévère, l'on en recevra une double rétribution. "

La première partie de l'énoncé montre que dans l'enfance, libre de toute préoccupation, tout est facilement retenu par l'esprit. Le poète a dit :


" Je l'ai aimée alors que je ne connaissais plus l'amour

Ayant trouvé un coeur vide, l'amour s'est bien installé. "


La seconde partie a trait à celui qui, entreprenant dans l'âge adulte, l'apprentissage du Qur°ân, éprouve des difficultés d'assimilation. Celui qui l'apprend ainsi avec difficulté en recevra une double rétribution : l'une pour l'apprentissage et l'autre pour les difficultés éprouvées. " [6] D'après Al Lisân : " Dans un hadîth il est dit :" Enseignez-vous le Qur°ân, les uns les autres, car il est aussi récalcitrant qu'un chameau libéré de ses entraves. "" [7]


Dans son recueil de prônes et de prédications du Prophète [8], Sayyidî 'Abd Ul Bâsit [9] dit d'après Zayd Ibn Arqam (Qu'Allâh l'agrée), l'Envoyé a dit :

" Ô hommes ! Sachez que je ne suis qu'un être humain. L'envoyé de mon Seigneur ne va plus tarder à venir me quérir afin que je rejoigne [l'autre monde]. Mais j'aurais laissé avec vous deux choses importantes (thaqalayn) :


(1) Le livre d'Allâh qui renferme la direction et la lumière. Qui s'y attache et le met en pratique, peut être sûr qu'il est sur la voie droite. Qui s'en détourne, s'égare : demeurez attachés au Livre d'Allâh et conformez-vous-y.


(2) Les membres de ma famille : prenez soin des membres de ma famille pour la face d'Allâh. Prenez soin des membres de ma famille pour la face d'Allâh ! " [10]


D'après l'auteur de Ad Durrat Ul Maknûnah [11], le terme taqalayn signifie, selon Al Qâmûs [12], tout ce qui est précieux, important et bien protégé. Il en est ainsi du Qur°ân et de la famille [du Prophète ]. Car chacun des deux est un réceptacle de connaissances religieuses, de secrets spirituels, faits de sagesse et dondés sur les règles de la Shâri'ah. C'est pourquoi l'Envoyé d'Allâh nous exhorte à les prendre pour modèle, à nous les attacher et à nosu instruire auprès d'eux, comme il en sera question plus loin. Il a aussi dit : " Alhamduli Llâh qui nous a donné, à nous membres de la Famille, la sagesse ". Ce hadîth est rapporté par Al Imâm Ahmad. L'on a pu dire qu'on appelle les hommes et les junun thaqalayn vu la lourde responsabilité que représente l'obligation de prendre soin de leurs droits. " Je vous rappelle " signifie : je vous mets en garde contre Allâh au sujet des membres de ma Famille.


Dans Al Jâmi' Us Saghîr de Sayyidî As Suyûtî, il est dit : " Les nobles de ma communauté sont les dépositaires du Qur°ân. " C'est à dire ceux qui l'ont mémorisé et qui le récitent avec assiduité et qui mettent ses règles en pratique. Rapporté par At Tabarânî. DansAl Jâmi' Ul Kabîr [13] et Al Bayhaqî dans le chapitre de la foi, d'après Ibn 'Abbâs. C'est un hadîth da'îf. On y rapporte de même :


" Allâh a Sa famille parmi les humains. "
- " Qui sont-Ils Ô Envoyé d'Allâh ? " lui demanda-t-on.
- " Ce sont - répondit-Il - les Gens du Qur°ân. "


Il confirma cela en le fixant et en le précisant d'avantage dans les esprits en disant : " Ce sont eux la famille d'Allâh et Ses proches. "[13] ; c'est à dire qu'ainsi rapprochés et choisis, ils sont, pour ainsi dire, devenus Sa famille. Rapporté par Ahmad Ibn Muhammad Ibn Hambal dans son Musnad, par An Nasâ'î Ahmad Al Khurâsânî et par Al Hâkim Muhammad Ibn 'Abd Allâh, d'après Anas.


Selon Khazînat Ul Asrâr [14] de Muhammad Haqqî An Nâzilî (Qu'Allâh l'agrée) [15] l'auteur dit : " L'Envoyé d'Allâh a dit : " La récitation du Qur°ân en prière canonique l'emporte en mérite sur sa récitation dans d'autres circonstances. La récitation du Qur°ân en une circonstance autre que la prière canonique, l'emporte en mérite sur les glorifications (takbîr) et les les louanges (tasbîh). Le takbîr et le tasbîh l'emportent en mérite sur l'aumône et l'aumône l'emporte sur le jeûne et le jeûne est un rempart contre l'enfer. "Rapporté par Al Jâmi' Us Saghîr.


L'on a rapporté que le Prophète a dit :


" Lors de l'Ascension nocturne, j'ai visité l'enfer et j'ai vu que la plupart de ceux qui s'y trouvaient étaient des pauvres. "

- " Est-ce pauvreté en matière de biens matériels ?! " Lui dit-on.

" Non ! - répondit-Il - mais par défaut d'instruction. "


Celui qui n'acquiert pas le savoir, qui ne prête pas attention et qui ne fréquente pas les érudits, ne sera pas disposé à comprendre les règles relatives au culte et ne pourra, par conséquent, s'en acquitter convenablement. Si un homme adorait Allâh (Qu'Il soit exalté) de manière égale à l'adoration de tous les Anges du ciel, sans aucune connaissance des règles, il n'en demeurerait pas moins perdant. Puis, tu dois savoir que l'accomplissement de l'acte cultuel s'inscrit dans l'ordre suivant : on prie tant qu'on est disposé et que l'âme demeure réceptive. Car la prière canonique est supérieure à tout autre acte dévotionnel et demeure le biais par lequel s'accomplit l'ascension spirituelle de serviteur d'Allâh [...] "


Plus loin, il ajoutera :" Si on est lassé d'accomplir des prières surérogatoires, on peut se mettre à lire le Qur°ân. La lecture étant plus reposante pour l'âme que la prière gestuelle. Las de la lecture, l'on peut faire du dhikr par le coeur et la langue, ceci étant plus aisé que la lecture. Fatigué de réciter des litanies, ont peut laisser l'évocation par la langue pour entamer l'introspection. Celle-ci est cette disposition du coeur par laquelle on se sent observé par Allâh. "



Notes :


[1] Al Mishkât Ul Masâbîh.


[2] Sourate 72 - Verset 1.


[3] Pour les Arabophones : voir son commentaire : Mishkât Ul Masâbîh d'Al Imâm At Tabrîzî aux éditions Al Maktâb Al Islamî : Damas - 1962, Tome 1 Page 661.


[4] Al Imâm Ismâ'îl Al Haqqî An Naqshibandî.


[5] Sourate 21 - Verset 17.


[6] h Al Bayân Volume 5, Page 457 - 458.


[7] Muslim et Abû Dâwûd.


[8] Le titre du recueil est Nubdha yasîra min aqwalihi () et est édité.


[9] Il s'agit du Shaykh 'Abd Ul Bâsit Ibn 'Alî Al Fâkhûrî décédé en 1906. Il était le grand Muftî de Bayruth et Sûfî reconnu. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont entre autres une biographie du Prophète () : Dhahîrat Ul Labîb, et d'un abrégé de l'histoire de l'Islâm : Tuhfa Al Anâm.


[10] Muslim, Ad Dâramî et Ahmad Ibn Hanbal.


[11] Il s'agit du Shaykh Ahmad At Tayyib Ibn Muhammad Us Sâlîh Ibn Sulaymân. Il est originaire du Maghrib. Il fut un Fâqîh et composa de nombreux poèmes sur la théologie dont Ad Durrat Ul Maknûnah, ainsi que sur des fatawah portant sur la succession et la théologie. Il décéda en 1836.


[12] Page 1256 de Al Qâmûs du Shaykh Al Fîrûzâbâdî, édité en 1986 aux éditions Matba'a Mu°assat Ur Risâlah.


[13] Ibn Mâjah et Ad Dâramî.


[14] A la page 59 des éditions Dar El Fikr.


[15] Ash Shaykh Muhammad Haqqî Ibn 'Alî An Nâzilî fut un homme vertueux et un Sûfî, il décèda à Makkah en 1884. Il fut l'auteur des ouvrages Khazînat Ul Asrâr et As Sunûhât Ul Makkiyyah.



Traduction D'Al Hâjj Rawane MBaye trouvable dans le Tome 2 de Pensées et Actions.

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